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ANSSI, applications, élaboration, cartographie, connexion, DSI, gouvernance, guide, informatique, infrastructure, maîtrise, métier, numérique, OIV, organisme d'importance vitale, outil, Risques, SI, système d'information
29 samedi Déc 2018
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ANSSI, applications, élaboration, cartographie, connexion, DSI, gouvernance, guide, informatique, infrastructure, maîtrise, métier, numérique, OIV, organisme d'importance vitale, outil, Risques, SI, système d'information
26 vendredi Jan 2018
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AMRAE, assurance, baromètre, fonction, gestion, Gestion des risques, métier, risk-management, risk-manager, risque
L’un des objectifs de l’AMRAE est d’assurer le développement et la promotion de nos métiers. Tous les deux ans, l’enquête « Baromètre du Risk Manager » permet de mesurer les évolutions dans la durée, du positionnement et du rôle de notre fonction de Risk Manager.
Le Baromètre participe à la visibilité de nos métiers et constitue un véritable outil de benchmark vous permettant de vous positionner dans l’environnement actuel.
ttp://amrae.fr/barometre-du-risk-manager?platform=hootsuite
A consulter également :
Vous cherchez un métier d’avenir ? Devenez risk manager
LA COMMUNICATION SUR LES RISQUES | AMRAE
Les entreprises craignent de plus en plus les cyber-risques, selon le baromètre Allianz
17 mercredi Jan 2018
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apprentissage, audit, audit externe, audit interne, auditeur, banque, blanchiment de capitaux, chiffre, commissaire aux comptes, comptabilité, conformité, conformité réglementaire, contrôle, contrôle interne, contrôleur, entreprise, expert-comptable, expertise, expertise-comptable, fraude, humain, IA, individu, Intelligence artificielle, jugement, machine, machine learning, métier, métier du chiffre, risque, robot, secteur, Secteur public
Toute innovation déclenche un phénomène d’inquiétude, voire d’angoisse chez certains individus.
L’intérêt suscité par l’intelligence artificielle (IA) auprès des chercheurs permettra l’apparition de nouveautés utiles tant aux plans scientifique, médical, scolaire et de l’enseignement supérieur…
Hormis dans la presse spécialisée, certains articles figurant dans la presse courante, sont moins pédagogiques et plus tournés vers le « sensationnel » et un futur plus ou moins réaliste, l’objectif premier étant de s’y intéresser, mais aussi d’attirer de nouveaux lecteurs.
S’agit-t-il d’un Big Bang, que ce soit pour les audits externe et interne, ou simplement d’une « révolution » numérique ? Penchons plutôt pour la deuxième possibilité.
Afin d’éviter tout excès, employons plutôt le terme de « transition ». L’audit, qu’il soit interne ou externe, utilise déjà des outils ou/et des applications informatisés.
Informatique ou numérique, n’est-ce pas la même conception appliquée aux outils d’aide ou de travail des auditeurs ?
Que nenni.
Nous sortirons de l’échantillonnage pour nous diriger vers l’utilisation des données fournies par ce que nous appelons couramment maintenant : le Big Data. Ce « saut numérique » fournira une nouvelle « puissance » d’analyse dans les travaux d’audit : analyses du risque, des données, des incidents…
Malgré ces nouvelles possibilités en termes de tâches d’analyse, dont certaines considérées comme basiques pourraient être pratiquées par des robots , il y aura toujours la nécessité d’apporter un jugement humain à tous résultats d’analyse.
Interrogeons nous également sur une autre activité que l’audit. Ne pensez-vous pas, qu’en périodes d’incertitudes que nous vivons, et qui seront peut-être amplifiées dans un avenir plus ou moins lointain, l’intelligence artificielle pourrait être une solution intéressante en termes de PCA et de scénarios préventifs (ou d’alertes) et ce, pas seulement dans le domaine médical ?
L’intelligence artificielle va, bien sûr, impacter les métiers de l’audit. Elle ne dépossédera pas pour autant les auditeurs de leur plus forte valeur ajoutée : le jugement humain.
L’intelligence artificielle (IA) est probablement appelée à une grande diffusion dans tous les secteurs de notre vie. Bien que de conception assez ancienne, nous commençons à en voir les effets concrets à travers la voiture autonome, la reconnaissance vocale, la victoire d’AlphaGo, etc.
D’aucuns, comme Ray Kurzweil, ingénieur au Massachusetts Institute of Technology puis chef de projet chez Google, prophétisent une hybridation homme/intelligence artificielle et prédisent un prolongement de la vie humaine. Pourtant Stephen Hawking met en garde contre les risques de l’IA qui pourrait être « la pire chose de l’histoire de notre civilisation », les machines pouvant à terme détruire l’humanité. https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/0301116384787-audit-faut-il-craindre-lintelligence-artificielle-2143313.php
A consulter également :
http://www.agefi.fr/emploi/actualites/hebdo/20171130/big-bang-numerique-dans-l-audit-233358
Quand les robots remplacent les salariés de la finance
Utiliser l’intelligence artificielle pour réagir aux cyberattaques
07 jeudi Sep 2017
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adhésion, administratif, écart, économie, budget, business model, coûts, coûts variables, compétitivité, contrôle de gestion, cost killing, cost-plus business-model, DAF, développement, design, directeur administratif et financier, directeur financier, entreprise, finance, fonction, frais fixes, frein, gestion, innovation, lean management, métier, modélisation, mutation, open controlling, organisation, outils, P&L, paradigme, pérennité, performance, pilotage, pluralité, ppriceless business-model, processus, projet, promoteur, R&D, résultat, rentabilité, stratégie, time to market, transformation, unité, valeurs
Le journal Les Echos a publié en avril 2017 un article relatif à une étude du consultant Bearing Point, « Les basiques de la transformation de la fonction finance en entreprise ». Parmi les sept recommandations formulées dans l’étude, j’ai été particulièrement interpellé par la quatrième d’entre elles.
En effet, que ce soit dans la presse économique ou orientée « business », c’est la première fois que j’y lisais une telle préconisation, à savoir que le DAF (Directeur administratif et financier) devait « Passer de la position de frein à l’innovation, au rôle de promoteur » !
Outre sa pertinence et son originalité, ce conseil développe une puissance exceptionnelle car il s’adresse directement au DAF ou au directeur du contrôle de gestion « corporate » de l’entreprise, et pas simplement au responsable financier d’une société d’ingénierie, ou au contrôleur de gestion d’une activité de R&D et d’innovations.
Cette reconnaissance médiatisée du rôle si particulier que doit jouer la fonction finance – gestion de n’importe quelle entreprise face à l’innovation conforte les travaux que nous avons réalisés avec Sophie Hooge, et rassemblés dans l’ouvrage Performance de la R&D et de l’innovation (Presses des Mines de Paris,2016).
27 mardi Juin 2017
Posted Gestion des risques, Points de vue et Perspectives, R&D
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administrateur, création de valeur, dirigeant, entreprise, gestion, métier, opportunité, risk-management, Risques, stratégie, valeur
Le métier de «risk manager» évolue. Il doit intégrer les sujets stratégiques et voir dans les nouveaux risques des opportunités
Dirigeants et administrateurs ont-ils trop confiance dans la gestion de leurs risques? Telle est la question que se pose Deloitte après les conclusions d’une étude, dévoilée le 20 juin, réalisée pour le cabinet d’audit et de conseil par Forbes Insight auprès de 300 dirigeants et administrateurs de grandes entreprises dans le monde. Lire la suite
24 mercredi Mai 2017
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audit interne, auditeur, base de données, conformité, contrôle, contrôle interne, contrôle périodique, contrôle permanent, Data, data analytique, data science, données, effcient, efficace, Gestion des risques, gouvernance, métier, périodique, permanent, processus, professionnel, qualité, risque opérationnel, Risques, statisticien, typologie
Ingénieur Data ou Scientifique Data ?
Il ne s’agit pas que d’un principe terminologique. La question se pose entre la nécessité de faire appel à un ingénieur data ou un scientifique data. Ou mieux encore entre un scientifique data et un statisticien data ?
Voici l’une des principales différences:
- ETL (Extract / Load / Transform) est destiné aux ingénieurs de données, ou parfois des architectes de données ou DBA
- DAD (Discover / Access / Distiller) est pour les scientifiques de données.
Parfois, les ingénieurs de données sont DAD, parfois les scientifiques de données sont ETL, mais c’est assez rare, et quand ils le sont, c’est purement interne (l’ingénieur de données faisant un peu d’analyse statistique pour optimiser certains processus de base de données, le scientifique de données faisant un peu de gestion de base de données pour gérer une petite base locale de données privée d’info résumée (non utilisé en mode habituelle de production, mais il y a des exceptions).
Laissez-moi vous expliquer ce que signifie DAD http://www.datasciencecentral.com/profiles/blogs/difference-between-data-engineers-and-data-scientists
Pouvoir assurer sa gouvernance de la qualité de ses données, lui apporter la quiétude de l’existence d’une gestion des risques en adéquation avec son appétence aux risques, complétée par un système de contrôle interne efficient et efficace incluant une gestion pertinente de la conformité, impliquent que ces intervenants connaissent les rôles d’une team data et les compétences requises pour exercer ces nouveaux métiers.
Ce commentaire est encore plus fondé en termes de contrôle périodique, à savoir l’audit interne.
C’est pour ces motifs que je vous invite à prendre connaissance du billet cité ci-après.
Data scientist et data analyst sont sans doute les métiers les plus emblématiques du champ d’expertise « data ». Pour autant, il n’est pas toujours simple de comprendre les différences entre ces deux professionnels – et ne parler que de ces deux métiers est fortement réducteur. Pour mieux comprendre la typologie des métiers de la […]
30 jeudi Mar 2017
Posted Actualités, Contrôle Interne, Secteur public
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amélioration, certification, comptabilité, comptes, contrainte, contrôle, contrôle interne, démarche, déploiement, finance, financement, gestion, gestionnaire, gouvernance, hôpital, levier, métier, obligation, optimisation, process, processus, processus Métier, sécurisation
Le contrôle interne se développe désormais à l’Hôpital. Les différentes réformes de gouvernance et de financement qu’a connu le secteur hospitalier, les tensions financières récurrentes qu’il vit au quotidien et la certification des comptes, constituent aujourd’hui un terreau favorable à son développement. Dans ce contexte, il s’agit de faire adopter le contrôle interne par les gestionnaires de l’Hôpital, comme un levier d’amélioration, de sécurisation et d’optimisation de leurs processus de gestion, et non comme une contrainte ou une obligation. Il vient compléter les démarches existantes en matière de gestion des risques, pour parachever le déploiement d’un système de management global des risques couvrant aussi bien les processus » métier « , que de gestion.
Claude-Anne Doussot-Laynaud et Nicolas Gasnier-Duparc – Presses de l’EHESP – Décembre 2016 http://www.finances-hospitalieres.fr/controle-interne-comptable-financier-hopital_679D56873F7CBD.html
17 lundi Oct 2016
Posted Actualités, Audit Interne, Points de vue et Perspectives
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audit, audit comptable, audit externe, audit interne, auditeur, automatisation, écriture, Big Four, blockchain, code, comptabilité, comptes, conseil, contrôle, contrôle automatique, contreparie, fraude, Intelligence artificielle, juridique, métier, nouvelles technologies, réviseur, révision, repositionnement, société d'audit, tâche, technicité, technologie, tiers de confiance, transaction, transparence, verification
La technologie va automatiser une grande partie des tâches effectuées jusqu’ici par les sociétés d’audit tout en nécessitant de nouveaux contrôles plus techniques. Les Big Four réfléchissent ensemble à leur avenir.